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Mes plus belles ambassadrices…

grigri de laure

Mes plus belles ambassadrices…

La vie sur les marchés est à la fois fastidieuse et magnifique. Si cette époque a fini par me faire détester le vent que j’adorais, elle m’a aussi permis de rencontrer un nombre de personnes étonnantes qui, pour nombreuses, sont devenues des amies. Parmi elles …

Laure, mon ambassadrice aux mille grigris

Une magnifique âme d’artiste comédienne, peintre, écrivaine, qui aurait pu inspirer la chanson de Lou Reed: ‘The pale blue eyes” tellement son teint et ses yeux sont clairs et translucides.

Le dernier grigri qu’elle a acquis m’a tellement ému que j’ai fini par écrire une lettre pour le lui envoyer. Mais je ne pouvais pas être plus rassurée que ce soit sur son cœur, qu’il transite après le mien.

 

grigri de laureJ’ai rencontré les créations de Cécile Bartolini sur le marché d’Ile-Rousse il y a quelques années et ce fut un grand coup de foudre : une histoire d’amour entre ces perles et moi. Je n’étais pas férue de bijoux, je porte mon alliance, deux autres bagues qui sont liées à ma famille et un gros bracelet manchette en argent pour les grandes occasions mais là… je suis tellement tombée en amour que, depuis cette rencontre, je m’offre un grigri pour chaque Noël, anniversaire, changement de vie : toutes les occasions et raisons sont bonnes pour étoffer ma collection de ces « compagnons de routes ». Car à chaque acquisition il me semble que je suis accompagnée par l’histoire et les vibrations de chacune de ces perles. Les grigris de Cécile ont tous une histoire, il suffit de tendre l’oreille. Sur cette photo je porte mon premier grigri : celui aux tons verts, le plus court. J’ai eu la chance de pouvoir prendre le temps (plusieurs heures) pour le composer et d’en choisir chaque élément en y associant toutes les symboliques qui me tiennent à coeur. Car Cécile est non seulement la « glaneuse » de toutes ces merveilles mais elle est aussi une personne aux qualités d’écoute et de coeur remarquables. J’ai pu aussi y joindre un pendentif qui m’appartenait (le cartouche de hiéroglyphe) et qui s’intègre parfaitement aux perles d’Afrique et autres trésors de bronze ou de pointe de flèche… Les deux autres grigris que je porte sont des créations de Cécile : l’un avec des coquillages de Mauritanie et l’autre fait de bronzes anciens de Djenné du 16ème siècle. Voilà pourquoi j’adore ces bijoux, voilà pourquoi je me sens fière et honorée de pouvoir les porter : comme autant de liens avec ces lignées de femmes qui se sont transmises ces merveilles et que Cécile aussi transmet avec la conscience de leurs préciosités. Voilà pourquoi ce sont des bijoux porteurs de beautés et de sens (ceux existants et ceux que l’on y projette) et que je transmettrais à mon tour, le moment venu, chargés de mon chemin…

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